• Nom : Miyame
    Prénom : Yoko
    Age : 18 ans
    Meilleur ami : Personne
    Famille : C'est la nièce d'Orochimaru
    Caractère : Yumi est intelligente et stratégique,elle agis toujours avec logique. Normal,avec 180 de QI ! Elle peut pourtant faire des erreurs mais ne renonce jamais. En effet, elle est connue pour son entêtement et sa ténacité. Essayer de lui ôter l'idée qu'elle a en tête serait vint. C'est pourquoi on est sur qu'elle résisterait à n'importe quel interrogatoire. De plus, elle n'abandonne jamais quoi qu'il arrive elle va jusqu'au bout même si le bout veux dire sa fin. Mais elle s'énerve vite et n'a donc pas toujours le contrôle d'elle-même. Froide est hostile, elle reste assez dans son coin et préfère les missions en solo car elle trouve que les autres sont tous des boulets.
    Manie : Quand quelqu'un l'énerve, elle met sa main à coter de la tête et l'abaisse en faisant un arc de cercle sur le côté tout en roulant des yeux. Et aussi, je sais pas vraiment si c'est une manie mais elle élève plein d'insecte en tout genre.
    Yeux : Elle possède des yeux bruns-dorés qui brille dans le noir comme ceux d'un chat.
    Cheveux : bruns-rouges
    Coiffure : Long et coupés droits avec deux mèches devant et une frange droite.
    Habit : Yoko porte une robe dont le haut de la robe est noir et le bas de la robe rouge. En dessous, il y a un short rouge clair. Elle chausse des bottes simples noires et elle a un gant à la main droite. A son poignet gauche, elle porte un gros bracelet doré. Elle l'a dérobé à la femme du seigneur d'Iwa no kuni et c'est pour elle un trophée. Elle a une cicatrice sur la joue gauche et se coupe la joue droite chaque jour pour qu'il y ai du sang qui coule, elle trouve que cela déstabilise l'adversaire. Elle se maquille les yeux au crayon noirs.
    Arme : Butty-butterfly-baguettes, des baguettes avec des papillons au bout.
    Invocation : Une énorme araignée du nom d'Aragogue
    Village : Anciennement Juunin d'Iwa désormais membre de l'akatsuki
    Affinité : Le Katon (La plupart du temps,les papillons se détachent de ses butty-butterbly-baguettes et prennent feu pour lancer l'attaque.)
    Taijutsu : 5/10
    Genjutsu : 7/10
    Ninjutsu : 8/10
    Force (/10) : 6/10
    Rapidité (/10) : 9/10
    Endurance (/10) : 10/10
    Histoire :
     Je naquis il y a 16 ans mais je ne sais même pas à quel date exacte. Durant mes 6 premières années de vie, j'ai vécut dans une pièce noir. Je n'avais, pour manger, que du pain sec et de l'eau. Cette période m'est très confuse car je n'ai pas fait grand chose à part penser et essayer de m'occuper. Au environ de mes 7 ans, je réussi à m'enfuir. Je commençai par mendier dans les rues et c'est ainsi que j'appris l'identité de mes parents. Ma mère, Ayuki,était un membre de l'ANBU du pays dont je ne connais pas le nom. Mon père, Kyo,était le bras droit du kage. J'appris par des commérages qu'ils avaient déménager. Ce fut alors que je parla pour la première fois depuis bien longtemps:
    "Vous savez où est-ce que les autres membres de cette famille sont ?"
    Les commères me regardèrent d'un drôle d'air. Elles m'apprirent que la plupart habitait au pays du feu. J'entrepris alors de chercher ces membres de ma famille. Ainsi, pendant 3 ans, je parcourait le pays du feu sans rien trouver. Je commençais à me dire que ma famille restait surement caché. Puis,un jour, alors que j'étais dans un petit village pour me reposer, je surpris une conversation. Le sujet était : Quels sont ses bruits qui proviennent de la maison de cet homme du clan Miyame. Je suivis donc ces personnes qui m'amenèrent sans s'en rendre compte à cette maison. Quelques minutes plus tard, un homme en sortit. Comme je me trouvait devant la porte, il me rentra dedans.
    "Qui êtes-vous ?" me demanda-t-il
    -Je m'appelle Yoko Miyame, répondis-je.
    - Vous...Non,c'est impossible, je n'est pas de frère ou de sœur.
    - Il faut bien, je serais là comment, à votre avis ?
    - Écoutez, je sais ce que vous voulez ! Vous voulez savoir, hein ?Vous vous demandez quel sont ces bruits. Mais je ne vous le dirait pas, ça ne vous regarde pas."
    Je sentis que cet homme cachait quelque chose. Je ne chercha pas quoi, cet homme étant désagréable. Je n'avais plus rien à faire ici, j'avais atteins mon objectif. Je partis donc.
    Un an plus tard, j'arrivais au pays de la roche. Là, je fus recueillie par un couple dont la femme était stérile. Lorsqu'il m'ont trouvé, j'étais en haillons et j'avais le regard vide. J'avais repensé pendant tout mon voyage à l'attitude de cet homme qui était inéluctablement mon oncle ou...mon père... Se faire rejeter par sa seul famille était, à cet âge, une épreuve. Mes parents adoptifs me rendirent heureuse pendant un an. Puis, ils furent très occupés et m'inscrirent donc à l'académie des ninjas d'Iwa no Kuni. J'avais 12 ans et j'étais donc en retard par rapport à ceux de mon âge. En effet, j'entrai à l'académie quand ceux de mon âge en sortait. Je me rattrapais néanmoins très vite. En effet, l'année suivante, j'étais déjà en mesure de partir de l'académie. Un mois plus tard,je passais avec succès l'éxamen chunin et trois mois plus tard, je devenais juunin. Je fis alors de nombreuses missions. Un an, je crois en avoir fait presque 50, toutes accomplie avec succès, bien sur. L'enfant prodige qui venait du pays d'Oto, c'est là, je l'appris plus tard, que je naquis. Pendant deux ans, je supportais de moins en moins le gouvernement. N'en pouvant plus, je lança un attentat contre le seigneur et sa femme. Je m'étais habillée comme une simple servante. J'attendais que tout ses proches soit prés de lui. Le premier jour, je tua ses amis lors d'une réception. Le lendemain, je tuais ses enfants, commençant par le plus jeune jusqu'au plus vieux. J'amenai sa femme à la mort le troisième jour et pris son bracelet comme trophée. Elle attendit trois jours avant de tuer le roi. Elle avait attendu pour que l'angoisse se développe en lui. Pour qu'il ai peur. J'ai alors fui le village et je me fit recrutée par l'Akatsuki, une marionnette ambulante et une sorte de babouin qui fait des horreurs avec ses mains. J'acceptai quand même. Je n'ai pas rayé mon bandeau. Je le garde dans ma poche, estimant en avoir besoin.


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